16 novembre 2014
Nos coeurs et Jardins
A l’horizon quelques arbres
En haut d’une colline verdoyante
Et en contre bas une plaine éclatante
Et un cheval qui trotte et qui se cabre
Face à cette beauté
Sachons tous regarder
Oublions le malheur pour admirer
La nature notre mère bien aimée
On sait bien que tout n’est pas rose dans notre quotidien
Et que la tristesse est un mur élevé entre deux jardins,
Mais nous pouvons cultiver notre joie et le bonheur serein
A toute heure du matin au soir et du soir au matin
Essayons de garder la bonne humeur
Chacun porte en lui son mur de pierre
Rien ne nous empêche d’y faire grimper du lierre
Pour adoucir peine et malheur
S’il faut juger les chagrins
A la hauteur des palissades
Dans notre vie parfois maussade
N'oublions pas d'ouvrir nos cœurs et nos jardins
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