Une promenade

21 mai 2014

Un dimanche d’été, à la douce atmosphère
Dans un parc inconnu joncher de fleur claire
Je marche, dans des allées pleines de mystère
A ma droite j’aperçois une petite clairière
M’y engouffre tout me semble austère
Je continue mon chemin et accélère
Il y a là encore quelques conifères
Mon regard se porte sur un arbre centenaire
Autour de lui tout est détruit quelle misère
Et tout d'un coup je croise sur un chemin du bruyère
Deux chasseurs à l'allure débonnaire
Avec tout deux un fusil et une cartouchière
Avec des lapins morts dans leur sacs en bandoulière
Ils passe en conquérant me saluant d'un air austère
Ici et là de l'herbe et des feuilles mangées par de petits mammifères
Et en bordure de mon parcourt de petit arbre forme une lisière
C'est beau cette nature ou le soleil offre chaleur et lumière
En contre bas il y a une belle et très claire petite rivière
j'aperçois la silhouette d'une dame comme au temps des lavandières
Elle lave son linge à la main et le dépose dans un sac à lanière
Au loin un bruit me surprend c'est un bûcheron avec sa hache, particulière
Qui se coupe un peu de bois pour se chauffer et aussi pour faire des étagères
Car sa femme qui est une jeune et charmante secrétaire
En à besoin pour y mettre toutes ses belles et précieuses affaires
Je vois passer devant moi un malade et son infirmière
Main dans la main, ils ont tous deux une démarche fière
Comme c'est beau toutes ces petites routes forestières
Si différentes ou tout y est déposé de merveilleuse manière